Cooper Lewis {I'm a Bitch, I'm a demon, I'm crazy, you'll adore to hate me, you'll always desire me}

Dis nous tout sur ton personnage :

Savez vous ce que c'est d'être sans cesse pourchassé, hait tout au long de votre vie ? Savez vous ce que c'est de toujours se battre pour survivre à chaque minute de votre vie ? Savez vous ce que c'est d'être une hybride ? Non ? Et bien suivez moi, je vous emmène en enfer.

Je suis malade, cruelle, crimminel. Je n'ai aucune compassion, aucune gentillesse, je suis un être de pierre, de pierre et de sang, c'est ce qu'il me faut pour suivivre. Laissez moi vous contez ma vie. Ne vous affolez pas, ne soyez pas des mauviettes je déteste ça.

Elia,
Je ne sais pas si je dois te dire merci, ou tout simplement te haïr. Devrais-je aussi te dire que je m'en veux ? Je n'en sais rien, je ne sais plus. J'ai mal tu sais, tu m'as brisée. C'est toi qui m'as sculptée, c'est toi qui à fait de moi un monstre de folie et de cruauté. Mais c'est aussi toi qui ma permis de suivivre. J'étais trop jeune pour me souvenir de ta tête à ma naissance, mais je peux aisement me l'imaginer, enfin je crois. Je vois un visage tordu de douleur, tu as du avoir du mal à me faire sortir. Donc un visage tordu de douleur, et en même temps heureuse, je serais ta vengeance, c'est ce que tu pensais. Mais ton bonheur fut bref, la désillusion arriva rapidement lorsque tu te rendis compte que j'étais une fille. Faible comme toi pensas-tu, non ? Alors tu m'as appelée Cooper, tant pis elle sera homme ou ne sera pas, c'est ce que tu as pensée non ? Tu es si stupide, mais je dois avouer que ta détermination de faire de moi une arme contre tes maîtres Noctariens m'aura sauvée. Je dois t'accorder ça, au moins. Et puis j'ai grandit, protégé par ta haine de cette espèce supérieur. Et en grandissant tout à changer, je suis devenue forte, bien plus forte que toi, courageuse aussi, mais surtout dangereuse, j'étais devenue la parfaite arme dont tu avais révé. Et pourtant je n'étais qu'une faible femme. Que c'est-il passer alors dans ta tête ? Que c'est-il passé pour que tu me fasse ça ? As-tu eu peur de moi ? T'es tu mis à penser que j'étais vraiment une erreur de la nature ? Pourquoi m'as tu vendu à eux ? Pourquoi m'as tu trahis ? Ta chair, ton sang. Tu étais tout, je te voyais en héros, pour moi tu n'étais pas faible, tu m'avais sauvé, tu m'avais permis de vivre, alors que tout me predestinais à pourir au fond d'une tombe. Et puis tu m'as vendu, lachement et simplement. Je les ai vu débarquer à la maison. Cette fois là, j'ai eu peur. Tu m'as brisée, tu étais la seule, et tu m'as trahis. Tu as voulu me faire tuer. J'avais 16 ans maman, et tu as voulu me faire tuer. Tu te rend compte ? Je ne cesse pas de me dire que j'ai bien fait. Que j'ai bien fait de t'assassiner. Tu avais raison tu étais faible et haissable, tu n'étais qu'une merdeuse d'esclave qui ne savait pas ce qu'elle voulait. Oui je me dis que j'ai bien fait de te tuer. Et pourtant pourquoi est-ce que ça fait aussi mal ? Je sens encore cet odeur de sang, je revois ton regard horrifié, et j'ai mal. Je te dois tout. Ma force, ma détermination, mon courage, ma douleur aussi. Alors je ne sais pas si je dois te haïr ou te remercier. Les deux je suppose. Sans toi je n'aurais pas vécu. Sans toi je n'aurais pas souffert.Tu es une garce sans nom, le démon de l'indécision, tu ne fais rien jusqu'au bout, et c'est ça qui m'a achevée. Mais tant pis, maintenant tu n'es plus là, et de là ou tu es j'espère que tu t'en veux. Parce que par ta faute, j'ai ton sang sur mes mains, et je m'en veux.

Va mourir en enfer maman, c'est tout ce que je te souhaite.
Cooper.

Je le sens, vous me haissez déjà, vous ne me connaissez pas, mais vous me haissez, parce que j'ai été capable de tuer ma propre mère. Si ça peut vous rassurez j'étais dans un état second ce jour là, j'avais peur, et je ne me contrôlais plus, ils étaient là pour moi, et j'ai bien cru que j'allais y rester.

C'était pendant le mois de décembre. J'adorais le moi de décembre, la neige, le froid, tout ça m'apportait un peu de bonheur. Je redevenais une gamine, je jouais dans la neige, et pourtant j'avais 16 ans. Je faisais des bonhommes de neige, plein de bonhomme de neige, il ressemblait à des hommes comme de goutte d'eau, j'étais doué. Et puis je valsais avec eux, essayant de prendre leur apparence. Je ne m'amusais jamais autant que lorsqu'il y avait de la neige, j'avais le sentiment d'être presque normal, et d'avoir des amis. Soudainement à travers les flocons de neige, je les vis arriver. Eux, les Noctariens. Comment avait-il fait pour me retrouver ? J'étais pourtant discrète. Je ne faisais pas de bruit, je ne sortais jamais sous ma véritable apparence, je n'avais jamais jouer avec le feu, comment avait-il pu. Je me retournais d'un air affolé vers la maison ou ma mère regardais nerveusement par la fenêtre, suivant des yeux ses quatres monstres. Une idée stupide s'imposa à moi, ce n'était tout de même pas elle qui m'avais vendue ? Si ? Je laissais mes jouets en plan, et courru à l'intérieur.

COOPER - « C'est à cause de toi qu'ils sont là ? »

Elle ne répondit rien, et baissa seulement les yeux. Je n'étais pas conne, et je voyais bien que c'était de sa faute. Je jeta un regard par la fenêtre, et les vis, ils étaient près, trop près. Je ne m'en sortirais pas cette fois, je ne pourrais pas le échapper, je devrais me battre ou mourir. Mes lèvres tremblaient de rage, de tristesse, je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi c'est d'ailleurs le dernier mot que j'ai prononcé, après tout à déraper, ils ont défoncé la porte, je me suis transformée. Un tigre blanc, un animal magnifque, puissant, dangereux. Depuis que j'avais 6 ans j'avais ce pouvoir, et je ne savais toujours pas le maîtriser. Il m'arrivait de me transformer selon mes désirs, mais la plus part du temps je ne contrôlait rien, c'était mon subconscient qui faisait tout. Là je ne contrôlais plus rien, ma haine, ma tristesse m'avaient transformé, j'étais une machine à tuer, violente, cruelle, et sans aucune pitié. J'avais bondit sur Elia, un coup de griffe, et s'en était finis d'elle. Ils avaient reculés, j'étais folles, et ils hésitaient à m'affronter. Mais eux aussi devaient être puissant. Je ne réfléchit pas plus d'une seconde je me jetais sur eux, les griffes en avant, les cros sortit. Je leur sautait par dessus, et je quittait brusquement la maison, fuyant à travers la neige, me roulant dedans et courant dans tous les sens pour brouiller mes pistes. Combien de temps suis-je resté transformé ? Je ne sais pas, longtemps je suppose, le temps que je me sente enfin en sécurité. Lorsque je me suis réveiller dans mon corps, mes mains étaients tachées de sang, je déglutis péniblement. Ainsi je l'avais vraiment fait.

Noctarien,
Vous êtes d'une stupidité sans nom. Pourquoi nous haïr ? Parce que nous représentons le fruit de votre faiblesse ? Parce que vous ne supportez pas de voir le symbole de votre amour pour une personne inférieur à vous ? Pourtant vous n'hésitez pas une seule seconde avant de vous tappez cette humain si chère à vos yeux. Pensez-vous sincèrement que nous sommes si nocif ? Ne pensez vous pas que si nous sommes dangereux et que nous cherchons à vous détruire c'est seulement parce que vous nous haissez, et que vous chercher à nous tuer ? Je n'ai jamais voulu tout ça. En naissnt je voulais la paix. Ou la paix simple et agréable. Comme tout enfant j'étais émerveiller par le monde qui m'entourait, la nature, et même par la pluie Londonnienne. J'admirais tout, jusqu'à ce que je me sente balotté de tout coté pour duir votre cruauté. On peut dire que si je suis un monstre, ce n'est que de votre faute. Qui sait, si vous m'aviez laissé tranquille j'aurais peut être été sage et douce, gentille et romantique, charmeuse et intelligente. Au lieu de ça je suis cruelle, manipulatrice, joueuse, séductrice, folle, drôle, maniaque, nerveuse, impulsive, excentrique. Je suis un être informe qu'on ne peut pas saisir, qui fait peur à tous. J'ai la beauté, la force, et la détermination, mais j'ai aussi la haine qui me ronge le coeur, la vengeance qui me transperce la peau. Je vous hais mes chers, et un jour je vous ferais payer tout ce que vous m'avez fait. Vous pouvez toujours me convaincre de vous pardonnez. Ce qui est fait, est fait, et je ne suis pas rancunière. Montrez moi que votre folie n'était qu'une bêtise du passé, et je vous laisserais en paix. Mieux que ça j'accepterais de cohabité avec vous. Mais étonnament je doute de votre bonne fois, et je suis sur que votre folie n'était pas qu'une bêtise du passé.

Rendez vous en enfer. Sachez une chose, j'en suis déjà la reine.
Cooper Lewis, Hybride.

Esclaves,
Vous me faite rire. Mais un rire violent, nerveux, jaune, stupide et surtout haineux. Vous n'êtes pas faible. Vous n'êtes pas en leur pouvoir, mais vous êtes des victimes. Victimes stupides ignorantes, et surtout soumise. Je ne vous comprend pas. Oui vous n'avez pas de pouvoir "magique", mais qui en a vraiment besoin. Le plus grand pouvoir est la ruse, la manipulation. Nous avons tous nos faiblesses, nous avons beau être puissant, nous avons des faiblesses, trouvez les et battez vous contre vos maîtres, mais cessez d'être soumis. Honnêtement vous me revulsez. Vous vous plaignez de votre situation, et vous ne faite rien pour l'améliorer, vous n'êtes que des être idiots, et sans aucune consistence. Je ne vous aiderais pas, vous ne le méritez pas. Les resistants le mérite, ils sont comme vous, et ils se battent. La liberté n'a pas de prix. Continuer à rester des peureux sans consistance, et ayez peur pour votre vie, et vous la perdrez bêtement en cherchant le bonheur dans la servitude. Ridicule petite bête. Oui vous êtes faible, et les Noctariens ont raison de vous dominez.

Au plaisir de ne jamais vous voir.
Cooper Lewis, Hybride.


Jo', Paul, Pierre, Evan, Ethan, William, Zadig... Et tout ceux que j'oublie.
Je suis désolée. Désolée de vous avoir laissé en plan. De vous avoir honteusement draguer pour arrivé à mes fins, sans vous remercier. Désolée de vous avoir fait miroiter des beaux jours en ma compagnie alors que je ne comptais ne vous accordez qu'une nuit et encore. Me croirez vous si je vous disais désolée ? Non ? Vous n'êtes pas si stupide alors. Je suis une garce, je m'ennuie à mourir dans ma forteresse de solitude. La faute à qui ? La faute à vous, enfin aux Noctariens, je ne sais pas si vous en faite partie. Je ne tourne rarement autours du pot, je peux être trop franche, et même trop cru, mais je sais que ça vous plait. Vous ne voulez pas de sainte nitouche qui ne savent pas ce qu'elles veulent. Je ne suis pas une sainte nitouche, et je sais ce que je veux. Vous, une nuit pour le paradis. Sortez moi un peu de cet enfer et surtout soyez ingénieux. Esclaves, résistants, Hybrides, Noctariens pour une nuit je me fiche de qui vous êtes. Vous ne savez pas qui je suis, vous ne me ferez aucun mal, je ne suis avec vous que pour vos charmes, vous avez littéralement succombé au miens. Ne soyez pas honteux, vous n'êtes pas seuls, je suis diaboliquement séduisante, sans me vanter. J'aime jouer, je vous oublierais vite, et je ne jouerais pas deux fois avec vous. Traitez moi de nymphomane si bon vous semble, je n'ai que faire de votre opinion. Vous êtes mon paradis artificiel dans mon enfer que trop réel.

Coop'


Je crois qu'il est temps de conclure. Je n'ai pas fait de rond de jambe, ni de détour, j'ai été honnête, je me suis montrer dans toute ma splendeur, dans toute mon horreur. Haissez moi si vous le voulez, désirez moi sans même le vouloir, aimez moi peut être, je suis Cooper Lewis, et rien de pourra m'arrêter. J'ai longtemps fuit, je me suis cachez, j'ai jouez de mon pouvoir pour me faire oublier. Ce temps est révolu. Je ne suis plus faible. Je suis forte et je n'ai plus rien à perdre. Je m'expose à la face du monde. Je suis prête à tout. Je suis expensive, j'aime la vie par dessus tout. La fête, l'humour, le franc parler, et le grain de folie font partie de mon quotidien. Je connais la lumière aussi bien que l'ombre. Je vous étonnerais toujours. Je suis un être paradoxal et complètement insaisisable. Ne cherchez pas à me détruire, je vous le ferais regretter. Je suis le diable darling, je peux vous l'assurez.